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L’ACBF aide le Conseil des entreprises de l’Afrique de l’Est à réaliser l’intégration économique

14 juil, 2014

Le Conseil des entreprises de l’Afrique de l’Est, organisme faîtière du secteur privé de la région, a été à l’avant-garde de la participation du secteur privé dans la marche vers l’intégration économique. Le conseil sert de plate-forme de défense des politiques, aux opportunités d’affaires ainsi qu’à leur promotion pour les membres. L’appui de l’ACBF au conseil basé à Arusha, Tanzanie, a permis de financer une étude visant à approfondir la participation du secteur privé à l’intégration économique de la région. L’objectif global du projet est de doter le conseil de moyens lui permettant de promouvoir et d’influer sur la création d’un environnement des affaires compétitif. De plus, le projet vise à améliorer les capacités humaines et institutionnelles, stimuler la croissance du secteur privé et élargir sa participation et possibilités d’intégration régionale.

Renforcement de la visibilité d’EABC
Un examen à mi-parcours du projet a été effectué dernièrement. Il a révélé des avancées significatives au cours de la période couverte. À titre d’exemple, la capacité accrue d’EABC à contribuer aux réformes des politiques régionales. Ces dernières ont permis d’instaurer un meilleur environnement des affaires en Afrique de l’Est. Par ailleurs, les projets financés par l’ACBF ont grandement aidé à renforcer la visibilité du conseil. Il produit aujourd’hui des brochures, des magazines trimestriels et des bannières distribués au public dans les cinq pays membres par différents canaux en 2013. Grâce à la publication, EABC s’est fait connaître auprès d’une grande partie des populations de la région. La publicité des entreprises dans le magazine a également aidé à la promotion des entreprises membres, contribuant ainsi à la croissance du secteur privé. Outre son rôle d’outil de commercialisation, le magazine est devenu une source de revenus internes pour le conseil. Son site Web a été réorganisé et est régulièrement mis à jour. Ainsi, de plus en plus de personnes de la sous-région et de par le monde peuvent accéder à une information pertinente sur les acteurs du secteur privé.

Relance du commerce transfrontalier
Avec le cadre consultatif de dialogue de 2012 associant le secteur privé, la zone douanière unique de la CAE, le visa de tourisme unique, la suppression des droits de permis de travail, sont entrés en vigueur de même que l’amélioration des résultats des ports, notamment celui de Mombasa. Les transactions commerciales intra-régionales n’ont cessé de croître comme le montrent les chiffres sur les exportations de chacun des cinq pays du groupe depuis 2010. Le Conseil (EABC) a réussi à faciliter le commerce transfrontalier. Les données sur le commerce de la région révèlent un regain d’activités entre 2010 et 2012. Les chiffres sur les importations de chacun des cinq pays ont également augmenté tandis que les exportations de la région vers le reste du monde se sont accélérées aussi.

Les partenaires et membres du conseil sont aujourd’hui plus que satisfaits des services offerts par son secrétariat, comme l’indiquent certains témoignages. De par la qualité de ses rapports de recherche et documents d’orientation, EABC présente de meilleures capacités humaines d’après l’étude. Les fonds qu’il génère en interne sont un autre impact positif. La participation du secteur privé au processus d’intégration du conseil prend de l’ampleur. Le secrétaire général de la CAE ainsi que les directeurs des sociétés privées s’engagent aujourd’hui plus qu’avant. Qui plus est, la circulation des personnes, biens et services est rendue plus facile que par le passé. Ce qui se vérifie par l’utilisation des cartes d’identité comme documents de voyage légaux en Ouganda, Kenya et Rwanda et la baisse de certaines barrières non tarifaires comme les barrages routiers.


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